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  • Book cover of Des femmes qui ont inventé notre temps

    Quand les femmes prennent le pouvoir sur leur vie !Voyage historique et militant. Ces femmes, qui ont vécu à des époques et dans des milieux fort différents, ont toutes une chose en commun, une seule, peut-être bien : elles ont pris le pouvoir sur leur vie.En se démarquant des usages, des codes préétablis, en se libérant du carcan mental et comportemental dans lequel le système et de prétendues "traditions immuables" les enfermaient, elles ont, certes marqué leur temps, mais elles ont surtout contribué, chacune à sa place, chacune dans son registre, à inscrire dans les faits le droit pour la femme d'inventer sa propre manière d'être au monde. Sans avoir jamais prétendu donner de leçons à quiconque, elles ont, par l'exemple, par les actes, par les idées, montré à la terre entière que, pour les femmes aussi, l'art de vivre doit être un art de la liberté.Évoquer ce qu'elles ont été, ce qu'elles ont fait, créé, inventé, conquis ; exposer les ruptures, les audaces, les épreuves, qu'elles ont assumées, c'est juste montrer à quel point la ségrégation sexiste relève non seulement d'une inexpiable injustice, mais aussi - et surtout - d'une abyssale sottise. Femmes évoquées : Hypatie - Trotula de Salerne - Pétronille de Chemillé - Jacoba de Almania - Madeleine Brès - Rosalind Franklin - Sophie Germain - Hildegarde de Bingen - Christine de Pisan - Aliénor d'Aquitaine - Mary Wollstonecraft - Mary Shelley - Billie Holiday - Joséphine Baker - Marquise de Sévigné - Germaine de Stael - Juliette Récamier - George Sand - Colette - Agatha Christie - Jeanne d'Arc - Olympe de Gouges - Rosa Luxemburg - Hannah Arendt - Simone Weil - Simone de Beauvoir - Louise Weiss - Elisabeth Tudor - Éléonore Roosevelt - Jeanne Barret - Alexandra David-Néel - Héléna Blavaski - Isabelle Eberhardt - Hélène Boucher - Claude Cogan - Florence Arthaud, et quelques autres...

  • Book cover of L'homme en guerre
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    Décidément, Toulouse est pleine d'ombres et de mystères. Une enquête policière pour le moins bâclée. Une instruction qui traîne en longueur. Un coupable sans mobile. Un crime sans cadavre. Trois ans après la disparition de son épouse, Jacques Viguier continue d'attendre, après avoir vainement clamé son innocence. Quand la police, la justice et les médias poursuivent le même fantasme, la recherche de la vérité passe aux oubliettes. Pourtant, il y a les faits, troublants. En procédant à une contre-enquête sérieuse, Dominique Labarrière accuse implicitement l'accusation de partialité, de contradiction et de négligence. Viguier n'est pas le " coupable idéal " imaginé par des policiers, des magistrats et des journalistes. Son épouse n'est pas non plus celle qu'on croyait. Viguier a droit à la vérité. Ce professeur d'université a passé neuf mois en prison, son honneur est entaché, son avenir hypothéqué. Il faut que justice lui soit faite.

  • Book cover of Grandeur et décadence de l'ordre des Templiers

    Qui n’a jamais entendu parler des Templiers, cet ordre militaire et religieux, tellement novateur dans la société médiévale ? Nous pourrions considérer que tout a déjà été dit, et pourtant... Malgré la qualité des recherches effectuées par les historiens, beaucoup de zones d’ombre demeurent autour de sa création et de son histoire. Une chose est certaine, la dimension politique est bel et bien présente d’emblée, facilitant grandement la reconnaissance officielle de l’ordre. Officialisation assortie de privilèges considérables qui devaient rapidement provoquer les plus vives jalousies et les plus violentes critiques. En peu de temps, l’ordre est devenu puissant. Très puissant. Riche. Très riche. Mais tant de puissance et de richesses devaient à terme se retourner contre l’ordre même. Au terme d’une procédure de plusieurs années, chef-d’œuvre de rouerie et de cynisme, en 1312, lors du concile de Vienne, le pape décrète la suppression de l’ordre. Deux années plus tard, en 1314, son dernier grand maître, Jacques de Molay, périt sur le bûcher à Paris sur ordre du roi de France. De cela, Maurice Druon a tiré une fresque passionnante, incroyablement romanesque, une fiction pleine d’invention. Mais qu’en est-il de la réalité?

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    Un enfant meurtri. Un illusionniste de l'identité qui réussit à berner tout le monde. Un Arsène Lupin qui transforme la carambouille en grand art. Un fauve cassé... prêt à rebondir. Au sortir des pénitenciers américains, Christophe Rocancourt raconte, cette fois dans le détail, son époustouflante aventure.

  • Book cover of L'école des filles
  • Book cover of Le Bûcher des sorcières

    Qu’on ne s’y trompe pas : la sorcière n’est pas le sorcier au féminin. Elle est d’une autre nature. Quand bien même parviendrait-on à faire l’inventaire exhaustif des actes, des prodiges, des maléfices, des mirages relevant de la sorcellerie, on n’aurait pas encore mis à nu le mystère de la sorcière. Dans nos contrées d’Europe, trois ou quatre siècles durant, leur rendant l’hommage flamboyant et purificateur du bûcher, on a consumé des sorcières par dizaines de milliers. Mais, ce faisant, a-t-on réduit en cendres « la » sorcière, l’amante des songes obsessionnels de clercs et de juges qui en perdaient la raison ? Du cavalier noir de Verberie à la « dernière» sorcière Anna Göldin, en passant évidemment par Salem, cet ouvrage vous propose de (re)découvrir les plus grands procès de sorcellerie de l’histoire. Et peut-être de percer le mystère d’une figure incontournable.

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    Ils ont perdu la vie alors qu'ils étaient au faîte du pouvoir et des honneurs. Carnot, Jaurès et Doumer sont morts pour des idées, assassinés par des anarchistes ou des illuminés. Salengro s'est donné la mort pour défendre son honneur après une terrible campagne de diffamation, comme Bérégovoy et Boulin, salis l'un et l'autre par la presse. Ayant franchi la ligne jaune, de Broglie a fait l'objet d'un contrat ; Joseph Fontanet a commis l'erreur de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment ; Grossouvre, enfin, semble avoir choisi le suicide par dépit. Ce livre évoque des infamies médiatiques, explore l'énigme de morts étranges et lève le mystère de certaines d'entre elles. Surtout, il raconte des tragédies, humaines avant d'être politiques.