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  • Book cover of Delacroix

    p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 14.0px Verdana} Eugène Delacroix (1798–1863) was one of the towering figures to emerge in France in the wake of Napoleon. No other artist of the nineteenth century balanced a reverence for the past with such a strong ambition and spirit of innovation. Distinguishing himself from many other talented young artists in Paris, he gained renown in the 1820s for his novel subject matter, theatrical sense of composition, vibrant palette, and vigorous painterly technique. His vast production—including some eight hundred paintings, prints in a variety of media, and thousands of drawings and pages of writing—won the admiration of countless writers and artists, including Charles Baudelaire, Paul Cèzanne, and Pablo Picasso. This comprehensive monograph closely examines the full breadth of Delacroix’s career, including his engagement with the work of his predecessors, his fascination with the natural world, his interest in Lord Byron and the Greek War of Independence, and the profound influence of his voyage to North Africa in 1832. It brings to life his relationships with his contemporaries, ranging from the painters Pierre Narcisse Guèrin and Antoine Jean Gros to Gustave Courbet, as well as his exploration of literary, historical, and biblical themes, his writing in personal journals, and his triumphant exhibition at the Exposition Universelle of 1855. Richly illustrated and encompassing the entire range and diversity of his art, from grand paintings to intimate drawings, Delacroix illuminates how this intrepid figure changed the course of European painting by heeding “a call for the liberty of art.”

  • Book cover of Nineteenth Century French Art

    During the nineteenth century, France experienced an unprecedented growth in the visual arts, and Paris was its center. French art became a universally accepted benchmark, spreading its many ground-breaking developments -- the radicalism of Impressionism and Post-Impressionism, the daring of Art Nouveau, and the innovations of Haussman's new urban landscape -- far beyond its borders, and in return receiving numerous influences from broad. During this extraordinary rich and productive period, French art also benefited from the synthesis of the past with the innovations of the present, resulting in an artistic output whose legacy is still being felt today. This chronological history, richly illustrated and recounted by experts from France's preeminent museums, charts the growth of this fruitful -- and revolutionary -- period in the history of world art. -- From publisher's description.

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  • Book cover of Portraits publics, portraits privés, 1770-1830
  • Book cover of Le Louvre à l'époque romantique

    Une étude des décors du palais du Louvre vers 1820 qui s'attache particulièrement aux grands décors figuratifs commandés sous la Restauration, notamment ceux d'Ingres, de Delacroix, Delaroche, Cogniet et Scheffer

  • Book cover of Ingres

    Ingres - la réforme des principes : 1806-1834. Longtemps, Jean-Dominique Ingres a été compris comme le suiveur de David ou comme le père de l'académisme, un attardé fuyant la scène artistique et s'exilant en Italie, un dessinateur s'opposant au "coloriste", au "moderne" Delacroix. Le présent essai entend comprendre la manière dont ce mythe s'est construit, et les raisons qui ont présidé, dès le XIXe siècle, à son élaboration. A la lecture des documents de l'époque et en confrontant les peintures d'Ingres à celles de ses contemporains, il apparaît alors que le peintre, loin d'être un suiveur consciencieux de David, très vite chercha à réformer l'art de son maître. C'est vraiment entre 1806 et 1834 que l'artiste entendit être " ce révolutionnaire-là ", faisant du Salon le lieu de sa reconnaissance publique et celui de l'affirmation de son originalité, une originalité qui ne cessa de dérouter. Loin d'être le peintre académique et dogmatique qu'on a voulu souvent voir, Ingres, dans ces années d'effervescence artistique et de débats esthétiques, entendait bien sortir la peinture d'histoire de l'ornière de la répétition stérile. Pour cela, il lui fallut transgresser les principes acquis chez David, en se mettant en quête de modèles nouveaux : il les trouva notamment au Musée. C'est dans ce mouvement d'archaïsme libérateur qu'il réussit à réformer les principes enseignés et a affirmer sa singularité.

  • Book cover of Portraits publics, portraits privés, 1770-1830
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    Longtemps méprisé, le " stupide XIXe siècle " (1819-1905) est devenu l'âge d'or de l'art français, dans toute sa diversité, avec Ingres et Delacroix, Manet et Puvis de Chavannes, Gustave Eiffel et Charles Garnier. Tout y concourt, la volonté politique comme les innovations techniques, la puissance, parfois paralysante, des institutions, la vigueur des initiatives privées. L'art français devient universellement exemplaire, répandant à l'étranger les trouvailles de l'impressionnisme, le modèle haussmannien ou les audaces de l'Art nouveau, mais recevant en retour, des artistes qu'il a attirés sur son sol, de nombreuses influences. Ainsi, il apparaît foisonnant, alignant une cohorte de grands maîtres, seuls face à leur création, ou tournés vers l'idée d'un art total et rêvant, avec Baudelaire et Valéry, au " mélange écumant des arts ".

  • Book cover of Valentin de Boulogne

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     · 2017

    L'exposition monographique qui ouvrira au Metropolitan Museum en octobre 2016 et au Louvre en février 2017 est la première consacrée au grand peintre caravagesque Valentin de Boulogne (1591-1632), dont ce précieux volume est le catalogue. Dans les années qui suivirent la mort de Caravage en 1610, l'espagnol Jusepe de Ribera et le français Valentin sont les deux plus importants protagonistes de la peinture naturaliste à Rome. Contrairement à Ribera, qui en 1616 s'installa à Naples, alors sous domination espagnole, l'intégralité de la carrière de Valentin se déroula à Rome, où il devint l'un des artistes de prédilection de la famille Barberini. Pour ces derniers, il peignit l'une des oeuvres les plus étonnantes du xviie siècle, L'Allégorie de l'Italie (Institut Finlandais de Rome) et reçut, tout comme Nicolas Poussin, la très prestigieuse commande d'un retable pour Saint-Pierre (Pinacothèque Vaticane). L'installation de ce retable, ainsi que celui de Poussin,suscitèrent un vif débat sur les vertus d'un art naturaliste, célébrant la couleur, par rapport à un style classique, fondé sur le dessin, qui perdurera au cours des trois siècles suivants. La réputation posthume de Valentin s'enflamma d'emblée. Deux semaines seulement après la mort prématurée du peintre en 1632, le marchand-graveur François Langlois, à la recherche de chefs-d'oeuvre de grands maîtres pour des collectionneurs, fut informé par Pierre Lemaire que : « on ne peut pas trouver ses peintures, ou si on le retrouve, il faut payer quatre fois ce qu'ils coûtent à l'origine ». Le cardinal Mazarin rassembla pourtant pas moins de neuf toiles de l'artiste, qui entrèrent dans les collections royales après sa mort et constituent l'un des fleurons de la collection du Louvre. Au xixe siècle, le style novateur de l'artiste devint un point de référence pour Courbet et Manet, fervents défenseurs d'un art d'après nature. Bien que sa trop brève carrière se déroule entièrement à Rome, Valentin peut donc être considéré comme une figure centrale dans l'histoire de la peinture française et de la peinture européenne.