One widely documented tool for project risk analysis is the Probability-Impact (P-I) Table, which assesses the probability of occurrence of a risky event and its likely impact on the project objectives, which are typically articulated in terms of cost, time and quality. Whilst there are numerous adaptations of the P-I Table, they are all consistent in treating the project objectives as independent and unrelated variables. This is a major limitation of the tool and reduces the P-I Table's practical applicability, as in most project contexts the probabilities and impacts of a risky event on the project objectives will be inter-related. To address this limitation, this paper presents a new tool that uses vector theory to enable a single calculation of the overall probability and impact, incorporating the perspective of all three objectives. The tool is illustrated through a practical application to a real case construction project.

There is a need for better integration of stakeholder analysis and risk management because there are risks which can arise from the actions of stakeholders which can impact on the project aims and objectives. To meet this need the authors propose that stakeholders need to be analysed in three dimensions. This gives higher transparency to a stakeholder's characteristics and creates a stronger link to risk management. In addition to a stakeholder's power and interest, a third dimension of 'attitude' is developed. Hence, a power-interest-attitude matrix is generated and applied to a real case construction project in Germany. This application to a real project scenario demonstrates how stakeholder analysis can be enhanced over the commonly used two dimensional matrices, to better integrate stakeholder analysis with risk management.

En France, les patients immigrés qui rentrent dans leur pays natal plusieurs mois par an sont exposés à des ruptures de leur suivi médical en l'absence de leur entourage médical habituel. L'objectif de cette étude est d'évaluer les difficultés de la prise en charge et du suivi des maladies chroniques des patients lors de leur séjour dans leur pays natal. Cette étude descriptive observationnelle est réalisée sur la base d'un questionnaire. Les personnes entrant dans les critères d'inclusion sont des patients interrogés au cours de consultations dans la Loire, la Haute-Loire et l'Isère, où une importante population d'immigrés résident. D'après l'étude, il y a une rupture du suivi des maladies chroniques des patients dans leur pays natal. Cela s'explique en partie par la délivrance partielle de leurs médicaments avant le départ mais aussi par le fait qu'ils n'ont pas de médecin traitant dans le pays natal, ni d'infirmière, ni d'entourage familial. La plupart des patients sont ainsi livrés à eux-mêmes et gèrent seuls leurs traitements, ce qui peut être délétère à long terme. Cette thèse réalisée dans la région Rhône-Alpes sur un faible échantillon peut constituer l'amorce d'une étude à plus grande échelle.