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French Abstract: Séparer le bon grain de l'ivraie : une analyse désagrégée des effets des dépenses publiques aux États-Unis. Dans ce texte, on entreprend une analyse désagrégée des effets des dépenses gouvernementales sur l'activité économique aux États-Unis. Le niveau de désagrégation considéré est le plus grand possible et est sans précédent dans la littérature empirique. Plus spécifiquement, la consommation et l'investissement publics sont décomposés en diverses sous-catégories qui sont mesurées pour le gouvernement fédéral (défense et non-défense), ainsi que pour les gouvernements des états et locaux. Pour chaque sous-catégorie, on estime un vecteur autorégressif structurel qui identifie les chocs de dépenses publiques à travers l'hétéroscédastictité conditionnelle des perturbations structurelles, pour ainsi relâcher les restrictions d'identification communément utilisées dans la littérature. L'analyse révèle une hétérogénéité significative dans les effets des chocs de dépenses publiques sur la production agrégée selon les sous-catégories et les niveaux de gouvernement. Les chocs dans les dépenses sur les biens durables et les structures tendent à avoir les effets les plus grands et les plus persistants sur la production agrégée avec un effet multiplicateur qui excède 1. Les résultats suggèrent qu'il y a peu de rapport entre la taille d'une catégorie donnée dans les dépenses publiques et l'ampleur de l'effet sur la production agrégée.
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· 2008
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· 2008
In many developing and emerging market economies, governments intervene to limit the degree to which oil-price increases are passed through to domestic fuel prices. This paper investigates whether, and to what extent, this intervention is warranted in an oil-importing economy characterized by nominal rigidities in the goods and labor markets. Our results indicate that, to the extent that monetary policy is capable of stabilizing the economy, government intervention in the oil market must be avoided. On the other hand, when complete stabilization is not attainable as a result of sub-optimal monetary policy, the government can improve social welfare by limiting the degree of pass-through of oil prices. We find, however, that the welfare gain from pursuing such a policy is negligible.
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