Betrifft die Ausstellungen "Gilgian Gelzer - Face Time" im FRAC Auvergne, Clermont-Ferrand (8.10.-18.12.2004), Le 19, Centre Régional d'Art Contemporain, Montbéliard (5.2.-27.3.2005), Musée de l'Abbaye Sainte-Croix, Les Sables d'Olone (15.10.2005-8.1.2006) und Ludwig Museum im Deutschherrenhaus, Koblenz (25.3.-7.5.2006).
· 2019
Daniel Dezeuze, born in 1942, is a French artist and a founding member of the French group called Supports-Surfaces. This group (made up notably of Claude Viallat, Louis Cane, André-Pierre Arnal, Vincent Bioulès, Jean-Pierre Pincemin and Bernard Pagès) formed in 1966 with the common objective of deconstructing painting in order to re-examine its history and question its nature. Colour was a fundamental question in many of their works, as was the use of non-traditional materials. Dezeuze's work over the years has been extremely varied in materials and in tone, from the austere rigour of his flexible wooden ladders of the 1970s, to the ethereal lightness of his gauze pieces going on to the colourful Peintures qui perlent. There are two main directions in his work, as in his drawing: the first, his deconstruction of painting and its components and the second, his creation of series of objects, which evoke humanity's perennial activities. With, in his drawings, the addition of his sensitive evocations of nature in his series La Vie Amoureuse des Plantes, or his colourful Butterflies.
L’œuvre de Garouste est engagée dans une figuration déformante qui donne naissance à un espace onirique, inspiré des mythes et des grands textes fondateurs ou littéraires et philosophiques. Olivier Kaeppelin analyse le triptyque intitulé Le Banquet, où se concentre tout l’univers de l’artiste, dans un jeu vertigineux d’allusions et d’associations d’images qui relie les trois parties du monumental tableau. Sur la première on voit un zeppelin qui survole une scène de carnaval à Venise. La deuxième dépeint un banquet bien fréquenté (Scholem, Benjamin, Kafka). La troisième montre des chiens musiciens dansant et volant autour d’un personnage tout feu tout flammes qui ressemble à l’auteur. Pour déployer la signification de cette œuvre dont Kafka est la référence centrale, Olivier Kaeppelin s’appuie sur des entretiens avec l’artiste (tous deux sont très proches), et sur sa maîtrise de l’histoire de l’art, de la littérature et de la poésie. Le texte est accompagné par de nombreuses images de détails. Les chefs-d’œuvre sont infinis. Ils sont surtout des énigmes. On découvre ici toutes les richesses du Banquet. Olivier Kaeppelin, né en 1949 à Rio de Janeiro, est un commissaire d’exposition, critique d’art et écrivain français.
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Un ouvrage édité à la suite d'une exposition sur l'artiste, intitulée oeuvres sur papier des années 80 et 90.
· 1987
Virtually all the writers grouped in this collection have been active in the French poetry scene for many years. Although the thirteen writers here have crossed paths, their literary domains remain somewhat far apart. The poets included in this anthology are Patrice Beray, Patrice Delbourg, Olivier Kaeppelin, Leslie Kaplan, Dominique Labarriere, Yves Martin, Jean-Yves Reuzeau, James Sacre, Serge Safran, Serge Sautreau, Andre Velter, Franck Venaille and Marc Villard.
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Né en 1955 dans la capitale catalane, Jaume Plensa conçoit aujourd'hui dans son atelier barcelonais des sculptures monumentales destinées au monde entier. Installées dans des centres urbains ou des espaces naturels en Europe, aux Etats-Unis ou en Asie, ces réalisations sont remarquables par leur qualité d'insertion dans l'espace public. Trois oeuvres emblématiques sont installées en France. Conversation à Nice (2007) se compose de sept personnages de résine lumineuse, assis tels des scribes de l'Antiquité au sommet de perches disséminées sur la place Masséna. A Antibes, Nomade (2010), tête monumentale en maillage de lettres d'acier, au sein de laquelle le visiteur peut pénétrer, domine le Bastion Saint-Jaume. A Bordeaux, Sanna (2013), visage féminin aux yeux clos de sept mètres de haut, en fonte de fer, s'intègre sur la place de la Comédie. Le musée d'Art moderne de Céret propose une version plus intimiste des derniers travaux de l'artiste : visages féminins de basalte ou de bronze dont les yeux clos invitent à l'intériorité, silhouettes formées par un maillage métallique de lettres et signes issus d'alphabets du monde entier, évocateurs de la multiplicité des possibles offerte par le langage. Une conversation muette s'engage entre des personnages de résine lumineuse au sein d'un espace propre au songe et à la méditation.